La seconde édition du Panorama du pro bono, réalisée avec le soutien de la Fondation Deloitte, la Fondation Société Générale, la Fondation Schneider Electric, la Fondation Groupe ADP, et en partenariat avec Le RAMEAU, Admical et l’Ifop, investigue les pratiques des acteurs qui, dans notre société, ont un besoin en pro bono ou partagent leurs compétences ; et analyse la perception de l’engagement par le partage de compétences (bénévolat/mécénat de compétences).
Cette édition porte une attention particulière aux personnes qui s’engagent, ceux appelés les « volontaires », actifs ou non, sur leurs besoins, leurs motivations et leurs aspirations.
80% de la totalité des sondés plébiscitent le pro bono. 93,5% des « volontaires » pensent que le pro bono est une forme d’engagement importante à pratiquer. 82% pratiquent déjà le mécénat de compétences et aimeraient aussi s’engager sur leur temps libre tandis que 45% de ceux qui pratiquent déjà le bénévolat de compétences aimeraient aussi s’engager sur leur temps de travail.
85,5% se sont engagés pour aider les autres et 75,5% pour se sentir utiles et impliqués dans la société ou la vie locale.
60% des volontaires pensent qu’il faudrait un accès plus facile aux structures qui facilitent la rencontre entre volontaires et bénéficiaires. 51% des volontaires pensent qu’il faudrait une meilleure communication sur le pro bono auprès du grand public.
En parallèle, 68% des structures à finalité sociale trouvent l’accès à l’accompagnement difficile.
85% des personnes qui s’engagent ou se sont engagées en pro bono disent utiliser des soft skills alors que 20% des entreprises mécènes proposent à leurs employés de partager leurs compétences. Ce chiffre est supérieur de 9 points par rapport au chiffre de 2016 et concerne toutes les catégories d’entreprises, aussi bien les TPE, PME que les ETI et les grandes entreprises.
Retrouvez l’étude en intégralité sur https://probonolab.org.