- Des interlocuteurs de proximité : Se rapprocher des associations...
- Un appui qui s’adapte à tous les besoins sans multiplier les contacts : fini le labyrinthe pour avoir un appui sur mesure
- Un service fiable et de qualité grâce à la formation et l’outillage des acteurs : Des acteurs formés...
- Un accès gratuit pour toutes les associations : Un service gratuit pour être accessible à tous...
- Des synergies entre initiatives publiques par des partenariats élargis : Une animation des réseaux "made in local"...
Des interlocuteurs de proximité : Se rapprocher des associations...
Sur le territoire, les associations connaissent des situations contrastées : dans une ville ou à la campagne, les structures d’appui ne sont pas toujours à proximité. Zones blanches, complexification des démarches liée au temps de déplacements, inégalités d’accès. Les enjeux sont colossaux et demandent un développement territorial structuré et mieux maillé.
Mailler le territoire, c’est garantir un accompagnement homogène et équitable, pour l’ensemble des structures associatives.
Stop aux zones blanches, stop aux déserts administratifs encore trop présents sur le territoire.
Monter une association dans un territoire rural ne doit pas être plus compliqué que de le faire en ville.
...pour être plus en prise avec leur quotidien et les réalités locales
Au-delà d’avoir des interlocuteurs de proximité, il s’agit de travailler avec des structures se situant au carrefour des enjeux locaux. Pour être au plus près du quotidien associatif, il convient de comprendre les dynamiques économiques, sociales et institutionnelles pour accompagner au mieux.
Mieux mailler le territoire, c’est donc aussi permettre d’échanger avec des personnes ressources qui ne découvrent pas les dynamiques mais en sont informées.
Un appui qui s’adapte à tous les besoins sans multiplier les contacts : fini le labyrinthe pour avoir un appui sur mesure
Les associations s’épuisent parfois à chercher une réponse qui soit :
- globale, car prenant bien en compte leur situation, à 360 degrés
- précise, car suffisamment détaillée et explicitée pour être sûr de ne pas être passé à côté d’un point important
- opérationnelle, car avec le mode d’emploi de ce qu’il faut faire, comment, quand, auprès de qui…
Sans devoir pour autant passer des heures sur internet, ou à appeler 10 000 personnes, ou à prendre X rendez-vous avant d’y parvenir…
... bienvenue à un appui où la première porte ouvre toutes les autres
Et si dorénavant, la première porte était toujours la bonne ?
- Être accueilli et écouté pour comprendre la nature exacte du besoin et le bon niveau de réponses potentiel ;
- Être orienté et mis en relation avec l’acteur adapté, à qui on a pris le soin d’indiquer pourquoi et par qui on est arrivé auprès de lui ;
- Recevoir les informations essentielles avec le mode d’emploi, les contacts utiles ;
C’est possible grâce à l’identification des acteurs ressources sur un territoire qui sont complémentaires, qui se connaissent et partagent la même volonté d’être aux côtés des associations, qui maîtrisent les compétences qu’ont chacun d’entre eux.
Un service fiable et de qualité grâce à la formation et l’outillage des acteurs : Des acteurs formés...
Les associations doivent pouvoir bénéficier de la même qualité de service, peu importe le territoire dans lequel elles sont ou leurs questions. Les acteurs de l’appui à la vie associative doivent partager un socle de connaissances et de compétences communs grâce à un parcours de formation, initiale et continue, qui soit fondé sur un référentiel identique.
Ce parcours de formation doit :
- être adapté aux missions portées par les structures
- prendre en compte les spécificités de chacun
- structurer les fondamentaux des réseaux
- évoluer pour prendre en compte les nouveaux besoins
... et outillés pour un accompagnement sécurisé
Les démarches sont parfois complexes et évoluent, la réglementation peut se modifier, de nouveaux dispositifs peuvent être créés…
Autant de raisons qui nécessitent que les acteurs de l’appui aux associations soient toujours au fait de ces évolutions ou actualités et ne perdent pas de temps à faire ou à produire des ressources qui existent ailleurs.
S’inspirer des uns et des autres, compter sur des ressources vérifiées et validées sont des gages de fiabilité pour les acteurs mais aussi pour les associations qu’ils accompagnent.
Un accès gratuit pour toutes les associations : Un service gratuit pour être accessible à tous...
Garantir l’accès gratuit à toutes les associations à un service d’appui performant, c’est un engagement nécessaire. Les associations n’ont pas toutes la même taille, les mêmes ressources, les mêmes besoins. Mais toutes rencontrent au cours de leur vie associative des moments où elles ont des questions ou des doutes. Il faut donc leur permettre de trouver des réponses et un appui adaptés sans que l’aspect financier soit un frein ou un problème de plus à gérer.
... mais qui doit être financé pour être solide
L’appui à la vie associative a un coût et celui-ci ne doit peser ni sur les associations qui en bénéficient ni sur les acteurs qui le portent. Pour que ces services puissent exister, se développer et s’adresser à tous, il faut permettre aux acteurs qui les portent d’être soutenus pour ce qu’ils font. Sécuriser leur économie est donc essentiel pour qu’ils poursuivent leur mission, dans la durée et avec qualité.
Au 1er janvier 2021, il y a 1253 EPCI en France, 332 arrondissements pour 101 départements :
- 3 structures "Accompagnement", soit 1 par arrondissement
- 8 structures "Information", soit 1 par médiane entre arrondissements et EPCI
- 20 structures "Prescription, orientation", soit entre 2 et 3 par structure "Information"
Des synergies entre initiatives publiques par des partenariats élargis : Une animation des réseaux "made in local"...
Pour être au plus près des préoccupations des associations, il convient d’avoir une gouvernance agile au plus proche des réalités territoriales (économiques, sociales et associatives). Elle nécessite l’union des forces vives du territoire : vives car compétentes, vives car pro-actives, vives car animées, vives car collectives et locales.
L’animation du réseau s’articule autour du délégué à la vie associative, nommé par le préfet et chargé du développement des politiques « vie associative » de l’État sur le territoire :
- il co-anime le réseau avec un ou plusieurs acteurs associatifs. Ce duo permet de mieux comprendre et répondre aux besoins des associations ;
- il anime, accompagne et valorise le réseau territorial de l’appui associatif labellisé par l’État.
... qui inclut les acteurs dans le pilotage
L’animation du réseau se double d’un pilotage stratégique incluant tous les acteurs de l’accompagnement du territoire. L’échange régulier au sein de la gouvernance facilite l’interconnaissance des dispositifs et des acteurs pour un accompagnement associatif plus qualitatif.
Les associations doivent pouvoir identifier des repères stables et durables. L’inclusion des acteurs au pilotage doit concourir à la consolidation d’un modèle efficient et soutenable. À tout moment, un problème rencontré et remonté par un acteur doit amener à une réponse.